Pour qui ? Pour quoi ?

L’hypnose peut intervenir favorablement dans de nombreux domaines, seule ou, suivant les problématiques, en complément d’une démarche médicale ou psychologique (à titre indicatif, les cas les plus courants où un bilan/accord médical préalable est nécessaire sont signalés ci-dessous par une astérisque).

Excès, dépendances, changement d’habitudes

– Arrêt du tabac, de l’alcool*, des jeux ou du grignotage…

Problèmes alimentaires et de poids

– Accompagnement de la perte de poids, prise de poids
– Rupture avec les mauvaises habitudes, obtention d’un meilleur équilibre
– Restauration d’une image de soi satisfaisante et d’un rapport bienveillant avec son corps

Étapes et difficultés de la vie

– Deuil, séparation, acceptation d’une situation nouvelle (changement de travail, handicap, départ des enfants, ménopause…)
– Dépression* ou burn-out*

Qualité de vie, bien être, développement personnel, coaching

– Gestion du stress, relaxation
– Gestion des émotions, de l’hypersensibilité
– Procrastination, auto-sabotage, conflits intérieurs, prise de décision difficile…
– Confiance en soi, estime de soi, timidité, éreutophobie (peur de rougir), trac, peur de parler en public…
– Facilitation du changement
– Développement de la créativité
– Préparation mentale aux examens, concours, compétitions, entretiens, permis de conduire…

Troubles divers

– Phobies, peurs, anxiété, hypocondrie…
– Blocages, obsessions, ruminations
– Sommeil (rumination, endormissement difficile, insomnies, bruxisme)
– Acouphènes*
– Trichotillomanie, onychophagie (se ronger les ongles), énurésie*, encoprésie*, tics

Gestion de la douleur* et accompagnement du malade

– Douleurs*, notamment chroniques
– Désagréments liés aux traitements lourds*
– Soutien dans les processus de rééducation* et dans le vécu de la maladie

* Après bilan médical ou psychologique. Et, le cas échéant, en parallèle du suivi/traitement médical ou psychologique mis en place (cf. remarques importantes. Voir aussi la page Éthique).

En cas de…

– Epilepsie non stabilisée : un avis favorable de votre médecin/neurologue est nécessaire.
– Troubles psychotiques, ou trouble de la personnalité borderline : l’hypnose n’est envisageable que dans certains cas, et qu’avec un encadrement médical adapté. Si vous êtes concerné, il vous faudra vous adresser à un médecin ou à un psychiatre pratiquant l’hypnose.